Activité 1 (en remplace du tandem)
Prenez
le premier livre que vous voyez (en langue française), allez à la page 115,
lisez la ligne 8, et créez une nouvelle histoire à partir de cette ligne.
Thérèse Raquin, Émile Zola, p. 115,
l.8 :
Il trouva l’ancien commissaire de
police à table en compagnie d’Oliver et de Suzanne. Olivier était habillé d'un pantalon
rose et d'une chemise rouge, ce qui n'est pas une très bonne combinaison.
Suzanne, elle portait une robe bleue et jaune très « flashy », et le
commissaire, Bernard était habillé comme un commissaire. Laurent, quand il est
entré dans la pièce, il a trouvé une scène très inattendue, ils étaient tous
autour d'une table en jouant à UNO. Laurent était très en colère, le
commissaire Bernard devrait enquêter sur la disparition de sa fiancée, pas
jouer à UNO. Il lève la main et crie :
- M. Bernard, vous ne devriez pas
être ici, ma fiancée a disparu ça fait 5 jours et vous n'avez toujours pas une idée
de l'endroit où elle se trouve !
- Calmez-vous M. Laurent -Bernard
répond-, nous faisons une courte pause seulement. Eh bien, j'ai une mauvaise et
une bonne nouvelle. Laquelle voulez-vous entendre d’abord ?
- La bonne nouvelle.
- Eh bien, nous avons trouvé votre
fiancée, ou ce que vous nous avez décrit comme votre fiancée.
Laurent se mit à transpirer et d'une
voix tremblante dit :
- Et où est-elle ?
-C'est ce que nous voulons vous
demander, où est-elle ? dit le commissaire d'une voix mystérieuse.
-Mais qu'est-ce que vous insinuez, je
n'ai rien fait à ma fiancée, je l'aime ! A crié Laurent.
Le commissaire s'est mis à rire :
-Calmez-vous monsieur, je ne vous
accuse de rien, mais mon partenaire Olivier a des raisons de penser que vous en
savez plus de ce que vous montrez.
-Je pense que vous êtes responsable
de la disparition de votre fiancée. Olivier a dit avec fierté.
-Mais quoi ? Qui va te croire, t’es habillé
comme un clown perdu.
Olivier avait l'air très offensé,
mais avant qu'il puisse répondre, Suzanne l'a interrompu :
- Je pense qu'après une nuit de
passion, vous avez un peu perdu le contrôle, et c'est pourquoi votre fiancée a disparu.
-Non, non, ce n'est pas possible, je
suis un homme respectueux et religieux.
-Eh bien, ce n'est pas le moment de
discuter, dit Bernard, la bonne chose est que nous savons où est votre fiancée.
-Et la mauvaise nouvelle ? A demandé
Laurent.
-Elle n'est pas en très bonne forme,
elle est … un peu … bizarre. Mais avant de vous la donner, je veux te demander,
vous allez bien ?
-Bien sûr que oui, où est-elle ?
À ce moment-là, Suzanne est entrée
avec ce qui ressemblait à une poupée, grande, pâle et au teint brillant, elle
semblait presque indestructible. Elle portait une longue robe blanche, comme si
elle était une mariée. Ses cheveux étaient d'un jaune éclatant, ses yeux
étaient bleus comme un étang sale, et sa bouche était ouverte, comme si elle
vocalisait la seizième lettre de l'alphabet, vous savez laquelle je veux dire,
non ? O comme Ouest.
À sa vue, les yeux de Laurent
s'écarquillent et il se précipite vers sa « fiancée », tandis que le
commissaire et ses deux adjoints regardaient avec dégoût.
-Merci beaucoup, inspecteur ! Je vous
dois une bouteille de vodka - dit Laurent, il se tourne vers sa « fiancé »
et l'embrasse - oh mon amour, comme tu m'as manqué, nous ne jouerons plus à ces
jeux, ok ?
Il a continué à parler à la poupée
jusqu'à ce qu'il a quitté la pièce. Olivier, Suzanne et le commissaire sont
restés dans un silence très inconfortable pendant quelques minutes jusqu'à qu'Olivier
demande :
-Où l'aurait-il acheté ?
-C'est ce que je veux savoir aussi,
répondit l'inspecteur Bernard.
-Eh bien, la seule chose qui me manquait
est une poupée gonflable ici. Arrêtez ces bêtises et mettez-vous au travail, le
chat de Madame Marie a disparu.
Comentarios
Publicar un comentario